Six comportements adoptés par les entreprises victimes de fonds activistes

Emmanuel Faber,PDG de Danone,lors de l’assemblée générale des actionnaires du groupe,à Paris,le 26 avril 2018. THOMAS SAMSON / AFP D’après une étude du cabinet d’avocats Skadden,86 % des entreprises européennes prévoient une intensification des campagnes activistes au cours de l’année 2025. Pour parer à toute éventualité,elles ont musclé leur défense en suivant les conseils suivants.

Se méfier même des petits Avec une petite participation de 20 millions d’euros,le fonds Bluebell Capital avait poussé vers la sortie le PDG de Danone,Emmanuel Faber,en 2021. La même année,Amber Capital avait obtenu de Lagardère qu’il renonce à son statut de société en commandite,qui donnait à Arnaud Lagardère un droit de veto sur toutes les décisions stratégiques. Ces deux camouflets pour l’establishment français montrent que la taille ne compte plus.

Garder son sang-froid « Les revendications comportent souvent un volet de gouvernance,car c’est un moyen de fragiliser l’entreprise,parfois de façon très efficace. On marque toujours les esprits quand on exige la démission du patron »,explique Caroline Ruellan,présidente du Cercle des administrateurs,une structure qui accompagne la gouvernance responsable des entreprises.

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