Le chef de l’Etat a inauguré, samedi, dans le calme, contrairement à l’an dernier, l’événement annuel du monde agricole. Durant ses déambulations, et au fil de ses rencontres, il a multiplié les mises en garde quant aux conséquences de la situation géopolitique actuelle.
Le groupe communiste a déposé, mercredi 19 février, une proposition de résolution pour inciter le gouvernement à transposer la directive européenne sur les travailleurs de plateformes, qui pourrait requalifier des centaines de milliers de travailleurs en salariés. Les sénateurs de la majorité et de droite ont rejeté cette proposition, estimant que l’établissement d’une loi sur le sujet mérite du temps.
Créée en 2004 pour restructurer les quartiers classés en zone urbaine sensible, l’Agence nationale pour le renouvellement urbain pourrait voir ses compétences élargies à tous les territoires « en déprise », qu’ils soient urbains, ruraux, périphériques ou « en risque climatique ».
Le Sénat devrait voter, mardi 18 février, un projet de loi d’orientation agricole sensiblement réécrit par rapport à la version des députés. Le gouvernement souhaite promulguer la loi avant le Salon de l’agriculture qui ouvre samedi.
Alors que la vie microbienne a toujours suscité un puissant rejet, au nom d’une société capitaliste aseptisée, la crise écologique et la peur collective du déclin pourraient nous réconcilier avec les processus de dégénérescence et de fermentation, explique la philosophe.
Le premier ministre doit rencontrer, samedi, l’association des victimes de violences et agressions sexuelles du collège-lycée privé, et continue à affirmer qu’il n’était pas au courant des dérives de l’établissement catholique. Il devrait faire face à une motion de censure.
Alors que la loi qui vise à interdire ces « polluants éternels » est de nouveau en discussion à l’Assemblée nationale, le syndicat a formulé une série de propositions pour évaluer et prévenir les risques pour la santé des salariés des industries qui les produisent.
Selon le médiateur du livre, Amazon, censé faire payer la livraison d’ouvrages, pourra continuer à livrer sans frais de port des livres s’ils sont retirés à la caisse de supermarchés. Mais l’opération devrait être payante si les livres sont placés dans des casiers de consigne automatique.