La publication des résultats des épreuves de vérification des connaissances a ravivé la colère des syndicats et associations de praticiens diplômés hors de l’Union européenne, qui font tourner les hôpitaux français. Malgré des notes parfois bien au-dessus de la moyenne, certains des 4 000 postes ouverts n’ont pas été pourvus.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
La cour d’appel de Paris a reporté au 19 juin une décision sur la libération du condamné libanais à perpétuité, détenu depuis 1984, estimant nécessaire qu’il fasse « un effort conséquent d’indemnisation des parties civiles », en particulier les Etats-Unis.
L’opération « Calice » avait démarré en 2010 par une perquisition au domicile de l’archevêque de Malines-Bruxelles, Godfried Danneels, chef de l’Eglise de Belgique de 1979 à 2009. Un rapport avait identifié 91 auteurs suspectés de faits de viols, d’attouchements et de sadisme.
Le docteur en sciences économiques et de gestion Laurent Taskin pointe, dans son dernier ouvrage, les multiples enjeux du télétravail (organisationnels, sociétaux…), depuis que cette « modalité d’organisation du travail ponctuelle » est devenue « un mode de vie ».
Alors que les groupes d’armement s’envolent en Bourse, le président de la Fédération allemande de l’industrie plaide pour que toutes les entreprises du pays participent à l’effort de défense. Un tournant.
Dans le sillage des députés La France insoumise Manuel Bompard et Sébastien Delogu, le mouvement se démarque du maire, Benoît Payan, et de sa majorité avant les élections de 2026.
L’opération « Calice » avait démarré en 2010 par une perquisition au domicile de l’archevêque de Malines-Bruxelles, Godfried Danneels, chef de l’Eglise de Belgique de 1979 à 2009. Un rapport avait identifié 91 auteurs suspectés de faits de viols, d’attouchements et de sadisme.
Les sociétés exploitant un parc de plus de 100 voitures sont en théorie soumises à des quotas croissants d’achat de voitures électriques (20 % en 2025). Mais les trois quarts ne respectent pas cette obligation, selon une étude de l’ONG Transport & Environnement.