Comment l’après-Tavares se dessine pour Stellantis

Carlos Tavares (au centre),PDG de Stellantis,et John Elkann,président de Stellantis,à Douvrin (Pas-de-Calais),le 30 mai 2023. NATHAN LAINE/BLOOMBERG VIA GETTY IMAGES Il s’est écoulé un long moment après la réunion du conseil d’administration de Stellantis,dimanche 1er décembre,avant que le constructeur automobile puisse confirmer « la démission avec effet immédiat » de son emblématique directeur général,Carlos Tavares. Ce dernier a discuté pied à pied les termes du communiqué. Négociateur connu pour sa rudesse et son exigence,il a posé des conditions sur son indemnité de sortie.

John Elkann a mis fin à l’organisation en râteau de Carlos Tavares. Celui-ci avait une top executive team de 35 personnes,qui lui rapportaient tout directement. Cet automne,pour plus d’efficacité,elle avait été resserrée à… 29 personnes. Carlos Tavares la réunissait tous les mardis à distance,convaincu qu’il pouvait déceler leurs humeurs et les contrariétés de chacun en scrutant les petites vignettes de sa tablette de visioconférence.

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