Dans les hôpitaux, des arrêts maladie qui restent nombreux depuis la crise sanitaire

Couloir du service des urgences de l’hôpital,à Arcachon (Gironde),le 10 août 2023. ROMAIN PERROCHEAU/AFP Sans surprise,l’annonce d’un durcissement des règles d’indemnisation des arrêts maladie des agents publics par le ministre de la fonction publique,Guillaume Kasbarian,dimanche 27 octobre,a été fraîchement accueillie dans le monde de la santé,concerné en premier lieu avec plus de 1,2 million de personnes dans la fonction publique hospitalière. Des « mesures iniques »,une « vraie provocation »,s’est émue la CGT Santé et action sociale,s’inquiétant d’une « nouvelle fuite des professionnels »,à l’heure où l’hôpital peine à recruter. Après avoir été en première ligne face à l’épidémie de Covid-19 et alors que la question du manque d’attractivité des hôpitaux se pose,depuis,de manière aiguë,le signal envoyé a pu surprendre.

Dans cette enquête comme dans les données que communiquent les hôpitaux,la loupe est posée sur ces personnels qui représentent la majeure partie des effectifs,et non sur les médecins,qui ne font pas partie de la fonction publique hospitalière,et dont les arrêts maladie restent peu nombreux,bien souvent autour de 3 %,rapporte-t-on dans plusieurs établissements.

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