En Allemagne, l’ambivalence de la chimie vis-à-vis de la Chine brouille la politique de Berlin

Une usine de résines de BASF à Caojing,près de Shanghaï,en Chine,en octobre 2018. Doucement mais sûrement,l’Allemagne se prépare au « choc chinois » : le jour où l’industrie chinoise sera si performante qu’elle constituera une menace existentielle au made in Germany sur les marchés internationaux. Les signes en ce sens s’accumulent. Après l’automobile et les machines,Pékin se renforce dans la chimie,le troisième secteur où Berlin est leader mondial.

Cette érosion progressive de la base productive chimique allemande et des investissements au profit de la Chine est très critiquée par les syndicats et certains dirigeants outre-Rhin,car elle renforce la dépendance de l’entreprise à l’égard du géant asiatique et alimente le danger de désindustrialisation. Ce risque est déjà avéré dans l’automobile.

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