Travaux du Centre Pompidou : « A Beaubourg, on a cherché à faire entrer au maximum la lumière »

Vue artistique du Centre Pompidou,à Paris,par l’agence Moreau Kusunoki. MOREAU KUSUNOKI EN ASSOCIATION AVEC FRIDA ESCOBEDO STUDIO Nous voulions respecter,par ailleurs,l’idéal de société qui habitait Rogers et Piano au moment du concours,qui a bousculé l’idée de ce que pouvait être un lieu de culture,et qui perdure malgré les évolutions de la société. A Beaubourg,on peut voir des gens qui dorment sur des canapés. Dans la bibliothèque,il y a des clochards,des sans-papiers… C’est un abri.

Que proposez-vous ?

Nicolas Moreau : De revenir à l’idée d’origine d’un bâtiment complètement poreux,vide. Depuis l’ouverture du musée,en 1977,il s’est passé beaucoup de choses,et notamment Vigipirate,qui a détruit ce principe. La rénovation qui a été menée entre 1997 et 2000 s’est traduite,en outre,par une accumulation de mezzanines fermées qui ont coupé la relation à la ville. Une intervention que Renzo Piano lui-même a récemment qualifiée,dans une interview,de « maladie des mètres carrés ».

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